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IONIS Education Group

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A propos de IONIS Education Group

Créé en 1980 par Marc Sellam, IONIS Education Group est aujourd’hui le premier groupe de l’enseignement supérieur privé en France. 29 écoles et entités rassemblent dans 27 villes en France et à l’International plus de 35 000 étudiants en commerce, marketing, communication, gestion, finance, informatique, numérique, aéronautique, énergie, transport, biotechnologie et création… Le Groupe IONIS s’est donné pour vocation de former les Nouvelles Intelligences de l’Entreprise d’aujourd’hui et de demain....

Créé en 1980 par Marc Sellam, IONIS Education Group est aujourd’hui le premier groupe de l’enseignement supérieur privé en France. 29 écoles et entités rassemblent dans 27 villes en France et à l’International plus de 35 000 étudiants en commerce, marketing, communication, gestion, finance, informatique, numérique, aéronautique, énergie, transport, biotechnologie et création… Le Groupe IONIS s’est donné pour vocation de former les Nouvelles Intelligences de l’Entreprise d’aujourd’hui et de demain. Ouverture à l’International, grande sensibilité à l’innovation et à l’esprit d’entreprendre, véritable culture de l’adaptabilité et du changement, telles sont les principales valeurs enseignées aux futurs diplômés des écoles du Groupe. Ils deviendront ainsi des acteurs-clés de l’économie de demain, rejoignant nos réseaux d’Anciens qui, ensemble, représentent plus de 100 000 membres.

52 offres d'emploi à découvrir

Nos métiers

  • La communication

    La communication englobe une série de métiers clés au sein de nos écoles, visant à développer, gérer et promouvoir l'image et la réputation de l'établissement concerné. Voici une brève présentation de certains de ces métiers : Assistant(e) de communication : En tant qu'assistant(e) de communication, votre rôle serait d'apporter un soutien administratif et organisationnel au département de communication. Cela peut impliquer la gestion des agendas, la coordination des événements, la rédaction de documents internes et externes, ainsi que l'interaction avec les parties concernées. Chargé(e) de communication...

    La communication englobe une série de métiers clés au sein de nos écoles, visant à développer, gérer et promouvoir l'image et la réputation de l'établissement concerné.

    Voici une brève présentation de certains de ces métiers :

    1. Assistant(e) de communication : En tant qu'assistant(e) de communication, votre rôle serait d'apporter un soutien administratif et organisationnel au département de communication. Cela peut impliquer la gestion des agendas, la coordination des événements, la rédaction de documents internes et externes, ainsi que l'interaction avec les parties concernées.

    2. Chargé(e) de communication : Le chargé de communication est responsable de la mise en œuvre des stratégies de communication définies par la direction. Cela peut inclure la rédaction de communiqués de presse, la gestion des médias sociaux, la création de contenus promotionnels et la coordination des campagnes de communication.

    3. Responsable des relations publiques : Ce professionnel est chargé de développer et de maintenir des relations positives avec les médias, les partenaires et le public. Ils travaillent sur la gestion des crises de communication et cherchent à accroître la visibilité médiatique de l'entreprise ou de l'organisation.

    4. Attaché(e) de presse : L'attaché(e) de presse se concentre sur la gestion des relations avec les médias. Leur objectif est de promouvoir les nouvelles, les événements et les initiatives de l'entreprise en travaillant en étroite collaboration avec les journalistes et les rédacteurs.

    5. Chef de projet en communication : Ce rôle implique de superviser et de concevoir les différentes initiatives de communication de l'entreprise. Le chef de projet veille à ce que les campagnes de communication soient livrées dans les délais, respectent le budget et atteignent les objectifs définis.

    6. Responsable de la communication digitale : Avec l'essor du numérique, ce rôle est devenu essentiel. Le responsable de la communication digitale se concentre sur la gestion des plateformes en ligne de l'entreprise, notamment les médias sociaux, le site web, les newsletters, etc.

    7. Directeur(trice) de communication : C'est le responsable ultime du département de communication. Le directeur de communication a élaboré la stratégie globale de communication de l'entreprise, supervise les équipes et s'assure que les messages transmis sont cohérents avec la vision et les objectifs de l'organisation.

    Chacun de ces métiers joue un rôle crucial dans la construction et la préservation de l'image de marque, ainsi que dans la gestion de sa communication interne et externe. Les professionnels de la communication doivent être créatifs, réactifs et capables de s'adapter aux évolutions constantes du paysage médiatique et numérique.

  • L'enseignement

    Les métiers de l'enseignement jouent un rôle clé dans le développement intellectuel et personnel des étudiants. Leurs principales missions : Enseigner : Ils/Elles dispensent des cours dans leur domaine d'expertise. Leur rôle est de transmettre les connaissances et d'accompagner les étudiants dans leur apprentissage. Le suivi pédagogique : Ils/Elles peuvent être impliqués dans le suivi individuel des étudiants, leur apportant un soutien académique et des conseils sur leur parcours d'études. Encadrer : Ils/Elles peuvent superviser des étudiants pour leurs mémoires ainsi que participer à des jurys...

    Les métiers de l'enseignement jouent un rôle clé dans le développement intellectuel et personnel des étudiants.

    Leurs principales missions :

    • Enseigner : Ils/Elles dispensent des cours  dans leur domaine d'expertise. Leur rôle est de transmettre les connaissances et d'accompagner les étudiants dans leur apprentissage.
    • Le suivi pédagogique : Ils/Elles peuvent être impliqués dans le suivi individuel des étudiants, leur apportant un soutien académique et des conseils sur leur parcours d'études.
    • Encadrer : Ils/Elles peuvent superviser des étudiants pour leurs mémoires ainsi que participer à des jurys d'évaluation.
    • Évaluer : Ils/Elles participent à l'évaluation des étudiants en corrigeant les examens, les devoirs et en attribuant des notes.
    • La recherche : Les enseignants chercheurs dirigent des travaux de recherche dans leur domaine académique. Ils contribuent à l'avancement des connaissances dans leur domaine.

    Les enseignants jouent un rôle crucial dans la formation et l'épanouissement des étudiants au sein de l'enseignement supérieur.

  • La finance

    Dans nos écoles, plusieurs métiers de la finance coéxistent : Comptable clients : Le / la comptable clients est responsable de la gestion des comptes des élèves. Il s'occupe de l'enregistrement des ventes, du suivi des paiements, du recouvrement des créances et de la résolution des problèmes liés aux comptes clients. Son rôle est essentiel pour assurer la stabilité financière de l'entreprise et optimiser la trésorerie. Comptable fournisseurs : Le métier de comptabilité fournisseurs concerne la gestion des comptes fournisseurs de l'école. Il s'occupe du traitement des factures, de la vérification...

    Dans nos écoles, plusieurs métiers de la finance coéxistent :

    1. Comptable clients : Le / la comptable clients est responsable de la gestion des comptes des élèves. Il s'occupe de l'enregistrement des ventes, du suivi des paiements, du recouvrement des créances et de la résolution des problèmes liés aux comptes clients. Son rôle est essentiel pour assurer la stabilité financière de l'entreprise et optimiser la trésorerie.

    2. Comptable fournisseurs : Le métier de comptabilité fournisseurs concerne la gestion des comptes fournisseurs de l'école. Il s'occupe du traitement des factures, de la vérification des paiements et de la gestion des relations avec les fournisseurs.

    3. Gestionnaire de paie : Le gestionnaire de paie est chargé de préparer et de vérifier les bulletins de salaire des employés. Il calcule les rémunérations en tenant compte des cotisations sociales, des déductions fiscales et des avantages sociaux. C'est un rôle crucial pour s'assurer que les salariés sont correctement rémunérés et que les obligations légales sont respectées.

    4. Contrôleur(euse) de gestion : Contrôleur(euse) de gestion pour mission de supervision et d'analyse des performances financières de l'entreprise. Il élabore des tableaux de bord, des dépenses estimées, identifie les écarts entre les objectifs et les réalisations, et propose des mesures correctives pour optimiser la rentabilité et l'efficacité des processus.

    5. Auditeur(trice) interne : L'auditeur(trice) est un expert chargé d'évaluer et de vérifier l'efficacité des contrôles internes et des processus au sein de l'organisation. Son rôle consiste à identifier les risques potentiels, à évaluer la conformité aux normes et aux politiques, et à formuler des recommandations pour améliorer les opérations de l'entreprise.

    Ces métiers de la finance dans nos écoles sont essentiels pour le bon fonctionnement car ils assurent une gestion financière saine, des opérations conformes aux réglementations et une utilisation efficace des ressources.

  • IT

    Les métiers de l'IT (Technologies de l'Information) sont des métiers liés à la gestion, au développement, à la maintenance et à l'optimisation des systèmes informatiques et des technologies associées. Voici quelques exemples de métiers de l'IT dans nos écoles : Développeur(euse) : Crée des applications et des programmes informatiques en utilisant différents langages de programmation. Administrateur(trice) réseau : Gère et confirme les infrastructures réseau d'une entreprise pour assurer la connectivité et la sécurité des systèmes. Ingénieur(e) DevOps : Combiner les pratiques du développement logiciel...

    Les métiers de l'IT (Technologies de l'Information) sont des métiers liés à la gestion, au développement, à la maintenance et à l'optimisation des systèmes informatiques et des technologies associées.

    Voici quelques exemples de métiers de l'IT dans nos écoles :

    1. Développeur(euse) : Crée des applications et des programmes informatiques en utilisant différents langages de programmation.

    2. Administrateur(trice) réseau : Gère et confirme les infrastructures réseau d'une entreprise pour assurer la connectivité et la sécurité des systèmes.

    3. Ingénieur(e) DevOps : Combiner les pratiques du développement logiciel (Dev) avec les opérations informatiques (Ops) pour améliorer l'efficacité et la fiabilité du processus de développement.

    4. Analyste en cybersécurité : Protège les systèmes informatiques contre les cybermenaces en mettant en place des mesures de sécurité et en analysant les vulnérabilités.

    5. Expert(e) en support technique : Fournit une assistance et résout les problèmes techniques pour les utilisateurs et les clients

     

    Ces métiers sont essentiels pour maintenir et développer l'infrastructure technologique.

  • La logistique

    La logistique dans nos écoles rassemblent différents métiers, par exemple : Agent de propreté : Responsable de l'entretien et de la propreté des locaux. Accueil : L'agent d'accueil est chargé de recevoir et d'orienter les visiteurs, les parents et les élèves par téléphone ou physiquement. Il fournit des informations sur l'école, aide à l'inscription des nouveaux étudiants. Agent de sécurité : Ce professionnel veille à la sécurité des personnes et des biens au sein de l'établissement scolaire. Il surveille les accès, prévient les comportements indésirables et assure un environnement sûr pour tous....

     La logistique dans nos écoles rassemblent différents métiers, par exemple :

    1. Agent de propreté : Responsable de l'entretien et de la propreté des locaux.

    2. Accueil : L'agent d'accueil est chargé de recevoir et d'orienter les visiteurs, les parents et les élèves par téléphone ou physiquement. Il fournit des informations sur l'école, aide à l'inscription des nouveaux étudiants.

    3. Agent de sécurité : Ce professionnel veille à la sécurité des personnes et des biens au sein de l'établissement scolaire. Il surveille les accès, prévient les comportements indésirables et assure un environnement sûr pour tous.

    4. Agent de maintenance : Cet agent est chargé de l'entretien général des infrastructures de l'école. Il effectue des réparations et s'assure du bon fonctionnement des équipements.

    Ces métiers jouent un rôle crucial dans le bon fonctionnement de l'école en garantissant un environnement propice à l'apprentissage et à la sécurité des élèves et du personnel.

  • La pédagogie

    Voici une présentation des métiers de la pédagogie, de l'assistant au directeur, en quelques mots : Assistant(e) pédagogique : L'assistant(e) pédagogique apporte un soutien administratif et organisationnel aux enseignants et à l'équipe pédagogique. Il peut être chargé de préparer les documents pédagogiques, de gérer les emplois du temps, de planifier les examens, de suivre les absences des élèves, d'aider à la gestion des ressources éducatives, etc. Coordinateur(trice) pédagogique : Le coordinateur(trice) pédagogique a un rôle plus actif dans le suivi. Il travaille en collaboration avec les enseignants...

    Voici une présentation des métiers de la pédagogie, de l'assistant au directeur, en quelques mots :

    1. Assistant(e) pédagogique : L'assistant(e) pédagogique apporte un soutien administratif et organisationnel aux enseignants et à l'équipe pédagogique. Il peut être chargé de préparer les documents pédagogiques, de gérer les emplois du temps, de planifier les examens, de suivre les absences des élèves, d'aider à la gestion des ressources éducatives, etc. 

    2. Coordinateur(trice) pédagogique : Le coordinateur(trice) pédagogique a un rôle plus actif dans le suivi. Il travaille en collaboration avec les enseignants et l'équipe pédagogique coordonner et suivre les objectifs pédagogiques, mettre en place des évaluations, et assurer la cohérence du cursus scolaire.

    3. Responsable pédagogique : Le responsable pédagogique occupe un rôle plus administratif et stratégique. Il supervise les coordonnateurs pédagogiques et s'assure de la qualité générale de l'enseignement. 

    4. Directeur(trice) pédagogique : Le directeur(trice) pédagogique est le responsable hiérarchique de l'ensemble des activités pédagogiques d'une école ou d'un cursus. Il joue un rôle clé dans la gestion globale de l'établissement. Ses tâches peuvent inclure l'élaboration des politiques pédagogiques ainsi que la prise de décisions stratégiques pour l'amélioration continue de la qualité de l'enseignement.

    Ces métiers de la pédagogie jouent tous un rôle essentiel dans le système éducatif en contribuant à la formation et à l'épanouissement des élèves à différentes étapes de leur parcours scolaire.

  • Les relations entreprises

    Les métiers des relations entreprises dans nos écoles sont essentiels pour établir et entretenir des liens fructueux entre l'établissement et le monde professionnel. Voici quelques-uns de ces métiers : Responsable Directeur(trice) des relations entreprises : Ce professionnel est chargé de développer et de maintenir des partenariats avec les entreprises, les organisations et les employeurs potentiels. Son objectif est de créer des opportunités de stages, d'alternance, d'emplois et de projets collaboratifs pour les étudiants. Chargé(e) de relations entreprises: Ce rôle consiste à faciliter l'insertion...

    Les métiers des relations entreprises dans nos écoles sont essentiels pour établir et entretenir des liens fructueux entre l'établissement et le monde professionnel.

    Voici quelques-uns de ces métiers :

    1. Responsable Directeur(trice) des relations entreprises : Ce professionnel est chargé de développer et de maintenir des partenariats avec les entreprises, les organisations et les employeurs potentiels. Son objectif est de créer des opportunités de stages, d'alternance, d'emplois et de projets collaboratifs pour les étudiants.

    2. Chargé(e) de relations entreprises: Ce rôle consiste à faciliter l'insertion professionnelle des étudiants en les aidant à trouver des stages, des emplois ou des contrats d'alternance en accord avec leur formation et leurs aspirations professionnelles.

    3. Responsable des stages : Il/Elle travaille en étroite collaboration avec les étudiants pour identifier des opportunités de stages en entreprise, que ce soit obligatoires dans le cadre du cursus ou facultatifs pour enrichir leur expérience.

    4. Chargé(e) des relations alumni : Il/Elle s'occupe de maintenir des relations durables avec les anciens étudiants de l'établissement, en organisant des événements, des réseaux et des opportunités de mentorat pour favoriser l'engagement des anciens élèves et leur contribution au succès de l'établissement.

    Dans l'ensemble, ces métiers des relations entreprises visent à rapprocher le monde académique et professionnel, afin de favoriser l'employabilité des étudiants et d'enrichir les programmes d'enseignement supérieur en les alignant sur les besoins du marché du travail.

  • Les relations internationales

    Les métiers des relations internationales dans nos écoles sont essentiels pour favoriser l'ouverture internationale, la coopération académique et la mobilité des étudintants. Voici quelques-uns de ces métiers : Chargé(e) en mobilité internationale : Il est chargé de conseiller les étudiants sur les opportunités de mobilité à l'étranger, y compris les programmes d'échange, les stages internationaux et les possibilités d'études à l'étranger. Il aide les étudiants à choisir le programme le mieux adapté à leurs besoins académiques et personnels. Responsable / Directeur(trice) des relations internationales...

    Les métiers des relations internationales dans nos écoles sont essentiels pour favoriser l'ouverture internationale, la coopération académique et la mobilité des étudintants.

    Voici quelques-uns de ces métiers :

    1. Chargé(e) en mobilité internationale : Il est chargé de conseiller les étudiants sur les opportunités de mobilité à l'étranger, y compris les programmes d'échange, les stages internationaux et les possibilités d'études à l'étranger. Il aide les étudiants à choisir le programme le mieux adapté à leurs besoins académiques et personnels.
    2. Responsable / Directeur(trice) des relations internationales : Il est chargé de créer les activités internationales de l'établissement. Il est responsable de développer et de maintenir des partenariats avec d'autres institutions dans le monde, de promouvoir les programmes d'échange et de mobilité des étudiants, ainsi que de faciliter la collaboration en matière de recherche et de projets internationaux.

    Les collaborateurs des relations internationales jouent un rôle crucial dans la promotion de la diversité culturelle, l'internationalisation de l'éducation et la collaboration mondiale au sein de la communauté académique.

  • Les admissions

    Chez IONIS Education Group, les admissions des élèves jouent un rôle crucial car il s'agit du premier contact de nos futurs étudiants. Chargé.e des admissions : Les chargés des admissions sont responsables de la gestion quotidienne du processus d'admission. Ils examinent les dossiers de candidature, vérifient l'admissibilité des candidats, coordonnent les entretiens et les tests, et fournissent des informations aux candidats sur les exigences et les procédures d'admission. Ils jouent un rôle clé dans l'interaction directe avec les candidats. Responsable/Directeur des admissions : Les responsables...

    Chez IONIS Education Group, les admissions des élèves jouent un rôle crucial car il s'agit du premier contact de nos futurs étudiants.

    1. Chargé.e des admissions : Les chargés des admissions sont responsables de la gestion quotidienne du processus d'admission. Ils examinent les dossiers de candidature, vérifient l'admissibilité des candidats, coordonnent les entretiens et les tests, et fournissent des informations aux candidats sur les exigences et les procédures d'admission. Ils jouent un rôle clé dans l'interaction directe avec les candidats.

    2. Responsable/Directeur des admissions : Les responsables ou directeurs des admissions occupent un poste de direction au sein du département des admissions. Ils élaborent la stratégie globale d'admission de l'école ou du programme, fixent les critères d'admission, supervisent l'équipe des admissions, gèrent le budget de recrutement, et prennent des décisions finales sur les admissions. Ils jouent un rôle clé dans la définition de la politique d'admission de l'école.

    Ces rôles travaillent en étroite collaboration pour s'assurer que le processus d'admission se déroule efficacement, que les critères d'admission sont respectés, et que les candidats sont bien pris en charge tout au long de leur parcours vers l'admission à l'école.

Nos avantages

Accès transports en commun
50 % sur vos abonnements domicile / travail
Formation
Comité d'entreprise
Télétravail
Ticket restaurant
Autre

Nos actualités

  • Le Groupe IONIS en faveur de toujours plus d’inclusivité et d’équité

    Publié le 07/12/2023

    Le Groupe IONIS poursuit son engagement en faveur d’une plus grande inclusivité à travers la mise en place d'une politique d’accompagnement dédiée aux collaborateurs bénéficiant de la Reconnaissance de...

    Le Groupe IONIS poursuit son engagement en faveur d’une plus grande inclusivité à travers la mise en place d'une politique d’accompagnement dédiée aux collaborateurs bénéficiant de la Reconnaissance de la Qualité de Travailleur Handicapé (RQTH).

     

     

    Déjà pleinement impliqué sur de grandes causes sociétales à l’image des campagnes annuelles IONIS en veille contre le sida et Le Printemps du Sang (mené en partenariat avec l’Établissement Français du Sang), deux actions initiées depuis de 15 ans, le Groupe IONIS agit également au sein-même de son organisation pour promouvoir des valeurs en accord avec sa volonté d’être une entreprise agissante. Cette démarche liée à la RQTH s’inscrit justement dans une politique forte en matière de Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) pour créer un environnement où chacun peut s'épanouir.

     

    Dès l’année 2024, chaque collaborateur RQTH, pourra bénéficier de 5 jours supplémentaires d'absence par an

     

    Par son rôle de leader de l’enseignement supérieur privé en France, à la tête d’écoles reconnues ayant pour mission de former non seulement les professionnels mais aussi les citoyens de demain, le Groupe IONIS croit en l’importance de la diversité et de l’inclusion au sein des organisations comme de la société. Cette nouvelle mesure, qui s'inscrit dans une démarche RSE globale, répond ainsi à l’objectif de fournir une flexibilité permettant d'harmoniser au mieux l’implication professionnelle avec les besoins personnels.

     

    Soucieux du bien-être de ses équipes comme de ses étudiants, le Groupe IONIS s’engage ainsi à continuer d’agir pour bâtir un monde plus égalitaire et ouvert. Ses écoles le prouvent d’ailleurs au quotidien à travers des actions telles que : le renouvellement récent du label de société à mission pour ses quatre écoles d’ingénieurs ou encore l’adhésion d’Epitech et de l’EPITA à Amazon Future Engineer, un programme en partenariat avec Amazon et l’association Article1 permettant chaque année le reversement d’une bourse à 30 étudiantes issues de milieux défavorisés souhaitant étudier l’informatique.

  • Le Groupe IONIS nomme David Benguigui en tant que Directeur de la Communication

    Publié le 07/12/2023

    Le groupe IONIS, premier groupe de l’enseignement supérieur privé en France, annonce la nomination de David Benguigui au poste de Directeur de la Communication et du Marketing 360. Son arrivée permettra...

    Le groupe IONIS, premier groupe de l’enseignement supérieur privé en France, annonce la nomination de David Benguigui au poste de Directeur de la Communication et du Marketing 360. Son arrivée permettra de renforcer la dynamique du Groupe, ses développements dans de nouveaux domaines et son expansion dans de nouvelles villes.

    Riche d’une expérience de plus de 25 ans, David Benguigui rejoint aussi le comité de direction du Groupe IONIS où il pilotera la stratégie de la Communication et du Marketing.

    Apporter un regard neuf dans l’enseignent supérieur

    Titulaire d’un Doctorat de Lettres et d’un Master 2 en Marketing et Communication des entreprises, David Benguigui a accompli l’essentiel de sa carrière chez Prodware, aussi bien en France qu’à l’international. Il a notamment occupé les postes stratégiques de Responsable du marketing digital et des contenus, Social Media & Content Management Director, Directeur marketing, tout en étant en parallèle vice-président du Club des Marketers In Tech (CMIT).

    « Je suis ravi de travailler à présent dans l’enseignement supérieur », assure celui qui, fort d’une longue expérience dans l’IT côté B2B, compte apporter un nouveau regard à ce secteur où se croisent de multiples enjeux. « Rejoindre le Groupe IONIS, c’est concourir non seulement au positionnement du leader de l’enseignement supérieur privé en France, mais aussi au rayonnement de ses différentes écoles dans une multitude d’univers passionnants : de l’informatique aux biotechnologies, du design à l’économie… Les projets stimulants ne manquent pas, c’est ce qui m’a poussé à relever ce défi. », David Benguigui, Directeur de la Communication et du Marketing 360.

     

    Une personnalité forte de l’IT pour relever le défi du digital

    Cette nomination répond également à la volonté du Groupe IONIS de renforcer sa direction avec des personnalités riches d’expériences, capables d’aider à imaginer et construire les écoles de demain dans un contexte de forte transformation digitale. « Je souhaite la bienvenue à David Benguigui au sein de nos équipes, déclare ainsi Marc Sellam, Président-directeur général et Fondateur du Groupe IONIS. Il apportera aux écoles et aux entités, en particulier, son expertise dans le domaine de la communication, des actions marketing, des stratégies et des plans d’action, avec une emphase forte sur la relation client. »

    Il sera accompagné dans ses missions par Clara-Lise Sellam. Diplômée de l’EM Lyon Business School en 2021, Clara-Lise a débuté dans les secteurs du luxe et de la grande consommation chez Publicis et L’Oréal, avant d’entrer au poste de Business Analyst chez SimilarWeb, entreprise spécialisée en analyse de données. À son arrivée au sein du groupe IONIS, elle exerce d’abord ses premières missions dans l’équipe Synergies et Communication en charge de 4 écoles (e-artsup, EPITECH, EPITECH Digital School, et l’ISEG) puis évolue rapidement au sein de la direction du groupe au poste de Directrice Adjointe de la Communication et du Marketing 360.

    29/11/2023
  • Quand la voile solaire emmène trois étudiants de l’IPSA au Japon !

    Publié le 07/12/2023

    Quand la voile solaire emmène trois étudiants de l’IPSA au Japon ! Actuellement en dernière année de leur cursus d’ingénieurs au sein de la filière , Esteban Decline, Elise Denis et Simon Maillot sont...

    Quand la voile solaire emmène trois étudiants de l’IPSA au Japon !

    Actuellement en dernière année de leur cursus d’ingénieurs au sein de la filière , Esteban Decline, Elise Denis et Simon Maillot sont trois passionnés d’espace qui ont eu l’occasion de participer à la dernière édition de l’International Symposium on Space Technology and Science () organisée au Japon afin de présenter le fruit de leur Projet Master en lien avec les Voiles solaires, une approche innovante de la conquête spatiale !

    Quand on pense aux différents appareils et véhicules se trouvant dans l’espace, on pense d’abord aux fusées, aux satellites, aux rovers ou encore à la station spatiale internationale, mais rarement à la voile solaire. « C’est un engin qui se déplace dans l’espace à l’aide de la pression photonique ou, pour faire simple, grâce à la lumière émise par le soleil, explique Simon. Il faut s’imaginer une sorte de grande voile carrée – celle sur laquelle nous avons travaillé est un grand carré de 7 mètres sur 7 mètres, par exemple – dont le but premier est de voyager dans l’espace à moindre coût en utilisant simplement l’énergie du soleil et aucun autre moyen de propulsion. » Une façon de voyager dans l’espace plus durable.

    La voile solaire, une innovation qui se dévoile petit à petit

    Pensée comme une réelle alternative aux propulsions chimique, nucléaire ou électrique, la propulsion de la voile solaire est également la seule qui permettrait d’atteindre des vitesses proches de celle de la lumière. « Bien sûr, on mettrait plusieurs années avant d’accélérer jusqu’à de telles vitesses, mais c’est possible, affirme Esteban. En effet, une voile solaire peut atteindre la moitié de la vitesse de la lumière simplement avec une accélération continue sur plusieurs années via la pression des photons. » Cette prouesse pourrait être cruciale pour de lointaines missions cherchant à aller d’un système solaire à un autre. Mais alors, face à de tels arguments, pourquoi ne parle-t-on pas davantage des voiles solaires ? Tout simplement parce qu’à l’image de son accélération prenant plusieurs années, cet engin a, lui aussi, dû prendre son mal en patience pour attirer l’attention de plus en plus d’acteurs de l’espace. Il aura ainsi fallu 2010 pour voir le premier lancement à ce jour d’une voile solaire avec celui de la voile japonaise

    . Et même si la voile solaire ne jouit pas (encore) d’une immense popularité auprès du grand public, elle peut tout de même compter sur de solides soutiens dans la communauté scientifique.

    La connexion de La Réunion

    Polytechnicien passé par le CNES, l’ingénieur Guy Pignolet est l’un des plus fervents défenseurs de la voile solaire et de la propulsion photonique. Véritable expert en la matière, il donne régulièrement des conférences sur le sujet à travers le monde et se trouve être à l’origine de l’Union pour la Promotion de la Propulsion Photonique (), une association active depuis 40 ans afin de justement faire la lumière sur ce procédé utilisant celle du soleil. En outre, Guy Pignolet est aussi une figure réunionnaise importante. En plus d’avoir conçu le drapeau officieux de l’île (qui possède même son émoticône), il œuvre pour y développer le secteur du spatial et n’hésite jamais à transmettre son goût des sciences aux nouvelles générations… dont font partie Esteban et Simon, tous deux également originaires du département français niché dans l’océan Indien : ils rencontreront le scientifique pour leur projet à mener au lycée – le premier s’intéressant alors déjà à la propulsion photonique, le second à la terraformation de mars –, ce qui les mènera à participer grâce à lui à leur premier Congrès international d’astronautique (IAC) en 2017 avant, quelques années plus tard, à se lancer dans un Projet Master IPSA ambitieux avec Elise à leurs côtés.

     

    À la découverte du projet Payankeu

    « Tout a commencé l’an dernier, se remémore Esteban. J’ai recontacté Monsieur Pignolet pour savoir où en était Payankeu, le projet de voile solaire qu’il portait depuis plusieurs décennies. C’est alors qu’il m’a expliqué qu’il prenait enfin forme concrètement ! À la suite de cet échange, j’ai parlé à Elise qui, n’étant pas réunionnaise, ne connaissait pas encore cet homme puis à Simon. Tous les trois, nous avons alors décidé de rejoindre l’U3P pour prendre part au projet Payankeu ! » Le trio se retrouve ainsi à devoir intégrer le module d’instrumentation de cette voile solaire censée devoir aller jusqu’à la Lune pour prendre une photo. À cette tâche s’ajoute une mission secondaire. « On devait aussi mesurer la densité de particules de poussière cosmique entre la Terre et la Lune, poursuit Esteban. Or, pour cela, il fallait concevoir l’instrument capable de donner ce résultat-là, une sorte de « compteur de poussière » si l’on veut. Et c’est ce qui a été proposé à l’IPSA comme sujet de PMI. On a ensuite pu réaliser un prototype de ce compteur pour cette voile solaire… et c’est ce qu’on a pu présenter au Japon ! »

    Petites poussières, mais grandes données !

    Les poussières cosmiques, il y en a beaucoup dans l’univers. On peut même dire qu’il y en a partout. Provenant de comètes, de fragments d’astéroïdes ou de collisions, elles sont parfois là depuis très longtemps. « Dans notre système solaire, ces poussières cosmiques ont différentes origines, mais proviennent toutes de la formation du système solaire : elles sont ce qu’on appelle « des rémanents », à l’instar de la Terre, détaille Esteban. Ainsi, quand on les date, on retombe sur à peu près l’âge du système solaire. » De ce fait, ces poussières permettent directement de comprendre comment était formé le système solaire, selon leur emplacement, leur répartition et leur densité.

    C’est justement ce que cherche à mesurer les trois IPSAliens via leur PMI, d’autant que, même si ces poussières cosmiques représentent un intérêt scientifique reconnu, elles ont été très peu étudiées jusqu’à présent dans l’espace proche de la Lune ainsi qu’entre la Terre et la Lune – seulement 2 ou 3 missions s’y sont attardées à ce jour et, malheureusement, pas assez longtemps pour collecter des données suffisantes. « Obtenir ces données entre la Terre et la Lune serait une première scientifique », juge Esteban, rapidement rejoint par Simon : « En cartographiant les zones ayant une densité plus importante ou celles ayant une densité moins importante, on pourra savoir dans quelle région naviguer ou pas lors de futures missions spatiales. En effet, bien que les particules de poussière cosmique soient de très faibles tailles, leur impact, lui, peut être en revanche très important et avoir potentiellement des répercussions sur l’électronique embarqué au sein des appareils et véhicules. Par exemple, sur la structure du satellite Hubble, ils peuvent atteindre plusieurs millimètres de profondeur… »

    Dans le cadre de Payankeu, les trois futurs ingénieurs faisaient partie du module instrumentation afin de s’occuper notamment du développement du compteur de poussières cosmiques. Ce dernier étant voué à être abrité dans un CubeSat de 20 cm par 20 cm (soit un nanostellite ) situé au centre de la voile solaire et accueillant également d’autres instruments (ordinateur de bord, caméras, etc.), le trio se devait donc de respecter un cahier des charges bien particulier avec des contraintes de taille et de masse tout en se répartissant le travail. Elise a ainsi beaucoup travaillé sur l’aspect optique de l’instrument comprenant un laser et un miroir, en calculant par exemple le bon emplacement de celui-ci. Esteban a lui davantage œuvré sur l’aspect thermique et les prédictions du nombre d’impacts. Enfin, Simon s’est plutôt concentré sur le design de la structure et sa mise en pratique, c’est-à-dire le placement des instruments et la modélisation 3D. Une fois le projet de compteur de poussières abouti, les IPSAliens suivent le conseil de Guy Pignolet et rédigent un article scientifique à l’issue du PMI afin de le soumettre au comité de l’ISTS. Sélectionnés en décembre, Elise, Esteban et Simon peuvent alors compter sur le soutien de l’IPSA pour leur permettre de se rendre au Japon pour défendre leur PMI et vivre une expérience inoubliable.

    Un rêve au Japon

    « Aller au Japon, c’était un rêve ! » Quand elle parle de son récent séjour sur l’île de Kyūshū pour l’ISTS, Elise affiche encore un grand sourire et pour cause : le pays du soleil levant la fascine depuis de nombreuses années. « Je parle un peu japonais, mais je n’avais encore jamais eu l’occasion de le pratiquer réellement, confie celle qui, après l’IPSA, va intégrer l’Agence spatiale européenne (ESA). Surtout, en 2020, j’ai planifié un voyage au Japon qui, en raison de la pandémie, a finalement été annulé… » Des trois étudiants, seuls Simon avait déjà une certaine connaissance de l’archipel nipponne, ayant déjà pu réaliser un premier 1er stage au sein de l’Agence spatiale japonaise (JAXA) lors de son cursus. « Ce stage s’était déroulé dans la ville de Sagamihara, en banlieue de Tokyo, sauf qu’il ne portait pas du tout sur les poussières cosmiques mais sur les satellites à puissance solaire, explique-t-il alors qu’il effectue un second stage dans la même entité pour conclure sa 5ème année. Participer à l’ISTS représentait une bonne occasion de visiter cette fois le sud du pays que je n’avais pas eu le temps de découvrir et des paysages magnifiques comme très différents de ceux très urbains que je connaissais déjà. »

    « Un cap de passé »

    Lors du congrès, les trois étudiants vont réaliser une présentation en anglais devant une cinquantaine de professionnels, mais surtout multiplier les rencontres avec des spécialistes de l’espace japonais, américains, allemands, français… « J’ai trouvé que ce congrès marquait vraiment une transition dans notre parcours, ne serait-ce qu’au niveau des échanges avec toutes les personnes présentes, estime Elise. Je me suis réellement sentie comme membre à part entière de ce milieu, pas juste une spectatrice : j’étais plus une professionnelle et moins une étudiante ! J’avais des choses à dire et à partager ! » Un avis partagé par Simon : « C’est un cap de passé au niveau professionnel ! »

    Ce qui marque énormément le trio lors de l’ISTS, outre l’importance du congrès en lui-même et son rayonnement international, c’est la courtoisie et la mentalité des hôtes. « On sentait chez les Japonais une réelle envie de partager leurs connaissances : ils ont vraiment l’envie de de transmettre leur passion et de vous expliquer ce qu’ils sont en train de faire », s’enthousiaste Simon. « On retrouve peut-être moins de snobisme et d’arrogance chez eux, note Esteban. Certes, on s’y attendait, mais quand on le vit, on est limite à se demander comment on a fait pour vivre sans eux jusqu’à présent ! » De quoi faire regretter de ne pas pouvoir prolonger le séjour ? « On s’y adapte tellement que c’est ensuite dur de revenir à Paris pour retrouver des gens un peu moins polis, s’amuse Elise, heureuse d’avoir pu fouler le sol de ce pays tant espéré et enfin pratiquer le japonais. Cela a été merveilleux de pouvoir utiliser en vrai ce que j’ai pu apprendre depuis le lycée ! »

    Encore charmé par le congrès et la halte qu’il a pu faire à Nagasaki en bon passionné d’Histoire (« se rendre dans cette ville tristement rendue célèbre, c’était quelque chose de très marquant »), Esteban remercie à nouveau ceux qui ont rendu possible cette participation – l’U3P et Guy Pignolet, l’IPSA… Actuellement en stage à Toulouse chez Alten en tant qu’ingénieur spatial en R&D, le jeune homme s’est d’ailleurs juré avec Simon de revenir lors de la prochaine édition de l’ISTS, en 2025. Et pour passer le temps d’ici, les deux Réunionnais pourront continuer à contempler les étoiles comme ils l’ont toujours fait, mais pas de compter les poussières cosmiques. Il y en a bien trop.

  • e-artsup x Forum réfugiés : une collaboration graphique et humaine

    Publié le 06/12/2023

    #2023 #association #collaboration #design #e-artsup #forum réfugiés #lyon #sanitaire #social Utiliser le graphisme pour mieux communiquer, dépasser la barrière de la langue, aborder des sujets difficiles...

    #2023 #association #collaboration #design #e-artsup #forum réfugiés #lyon #sanitaire #social

    Utiliser le graphisme pour mieux communiquer, dépasser la barrière de la langue, aborder des sujets difficiles et, finalement, aider ceux qui en ont le plus besoin. C’est cet objectif que poursuivent depuis plusieurs années les étudiants d’e-artsup Lyon avec l’association Forum réfugiés. Une collaboration qui a permis plusieurs réalisations graphiques plaçant toujours l’humain au cœur du projet.

    L’histoire de la collaboration entre le campus lyonnais d’e-artsup et Forum réfugiés débute en 2020. L’association qui agit pour l’accueil, l’accompagnement juridique, social et sanitaire et l’intégration des réfugiés a ouvert un centre à Villeurbanne un peu différent de ceux dont elle assure la gestion habituellement. « Ce n’est pas un hébergement classique pour tous les demandeurs d’asile mais des places dédiées aux femmes victimes de traite des êtres humains et de violences notamment conjugales », raconte Maryse ORBAN, chargée d’accompagnement pour l’association.

    Dans cette structure, tout était à créer, notamment les outils en lien avec la traite des êtres humains. « Nous voulions concevoir un livret d’accueil à destination des femmes accueillies, pour leur souhaiter la bienvenue, leur expliquer en images les missions du centre et pour qu’elles se sentent immédiatement accompagnées », poursuit-elle.  « Or, pour l’illustrer, nous n’avions pas les compétences en interne, ni de budget pour faire appel à des professionnels. On s’est alors demandé si des écoles de graphisme pouvaient nous venir en aide et c’est comme ça que j’ai découvert e-artsup. »

    LE DESIGN COMME « SOLUTION HUMANISTE »

    Si cette collaboration est indispensable pour l’association, elle l’est aussi pour e-artsup qui, régulièrement, cherche des associations, institutions et entreprises pour challenger ses étudiants et leur faire découvrir la conception d’un projet avec un client. Sous l’égide de Camille Boileau, intervenante sur de nombreux sujets au sein de l’école (graphisme, couleurs, mise en page, direction artistique, conceptualisation de projet), une première promotion d’étudiants commence à travailler sur le livret d’accueil et à se confronter à un autre univers au contact de Forum réfugiés. « Les femmes du foyer étaient présentes à toutes les réunions avec les élèves et donnaient leur avis, partageaient leurs connaissances et leur vécu en tant que victimes, détaille Maryse Orban. Cela a permis aux étudiants d’en apprendre davantage sur la traite des êtres humains, un sujet qu’ils ne connaissaient pas, pour ensuite mieux illustrer le parcours de ces femmes. »

    Encore utilisé aujourd’hui par l’association, ce livret d’accueil symbolise la richesse de cette expérience pour les futurs professionnels formés par l’école. « Si l’on reprend la définition de l’Alliance française des designers, le design est « un processus intellectuel créatif, pluridisciplinaire et humaniste, dont le but est de traiter et d’apporter des solutions aux problématiques de tous les jours, petites et grandes, liées aux enjeux économiques, sociaux et environnementaux », rappelle Camille Boileau. « Évidemment, dans la publicité purement marchande qui demande avant tout de vendre un produit et de relancer le désir d’achat compulsif, il est moins question de problématiques humanistes ou d’amélioration de la société, mais davantage de promotion d’une marque. Or, même si c’est très intéressant pour les étudiants de s’y plonger pour leur vie professionnelle, c’est tout aussi pertinent pour eux de revenir aux fondamentaux, à la base du design à travers un tel projet qui permet de leur expliquer en quoi leurs compétences et leur savoir ont une vraie utilité, un vrai sens, afin de pouvoir contribuer à aider — et peut-être dans le meilleur des cas à sauver des vies. »

    DES PROJETS SENSIBLES ET PORTEURS DE SENS

    Au fil du temps, la collaboration entre e-artsup et Forum réfugiés s’est étoffée de nouveaux projets. En 2021 par exemple, les étudiants ont permis à l’association de se doter d’un outil permettant de soutenir la parole des femmes nigérianes ayant été victimes de traite dans le cadre des formalités liées à leur demande d’asile. « Comme ces femmes sont anglophones et n’ont pas toujours un niveau d’éducation suffisant pour leur permettre d’assimiler des informations écrites, les étudiants d’e-artsup devaient réussir à trouver comment utiliser le graphisme pour mieux communiquer des informations en lien la demande d’asile, précise Maryse Orban.

    Autre projet marquant, celui qui a vu les étudiants développer une sorte de jeu de société permettant aux femmes issues de la traite des êtres humains d’Edo et de Delta Afrique d’expliquer par l’image leur situation aux médiateurs. « C’est un sujet d’ordinaire très complexe qui, à l’aide de ce dispositif — imaginé par l’élève Mylène Chazalon — devient plus accessible, estime Camille Boileau. Plutôt que formuler avec des mots des choses très dures, ces femmes choisissent les illustrations associées. C’est moins frontal et cela a déjà justement permis à plusieurs personnes au sein de l’association Forum réfugiés d’obtenir leurs papiers. »

    UNE COLLABORATION QUI NE CESSE DE GRANDIR AVEC ET POUR LES RÉFUGIÉS

    Enfin, dernièrement, les étudiants d’e-artsup Lyon ont mené de front deux nouveaux projets : d’un côté, la mise à jour et l’amélioration du livret d’accueil avec l’ajout de nouvelles informations, et de l’autre, la réalisation d’affiches destinées à être placées dans chacune des chambres du centre afin que les femmes puissent connaître le protocole pour se mettre en sécurité en situation de danger ou en cas d’intrusion d’une personne extérieure dans le foyer.

    En 5e année à e-artsup, Louis-Alexandre Louzada a été missionné pour faire le gabarit servant de support à sa mise en page, un rôle essentiel pour gérer et rendre plus cohérent l’ensemble graphique produit par les étudiants malgré les différentes sensibilités exprimées. « Au-delà des contraintes de design, le projet était également déterminé par d’autres facteurs comme, par exemple, le coût et la technique d’impression car l’association doit pouvoir imprimer elle-même le livret sur une imprimante de bureau et l’agrafer dans la foulée, souligne-t-il, heureux d’avoir pu participer à une telle aventure. Le fait que les destinataires du livret soient directement sur place a permis de directement échanger avec eux. Pouvoir les rencontrer et visiter les locaux du foyer a rajouté une profondeur au projet, à l’humain : on veut encore plus pouvoir aider ces gens sur lesquels on a mis un visage. »

    En parallèle de ces deux projets, des étudiants de deuxième année se sont également attelés à la conception de posters destinés à décorer les chambres et les lieux de vie gérés par l’association, chaque occupant pouvant alors choisir l’image qu’il préférait pour égayer les murs du foyer. Un défi qui a particulièrement plu à Violette Gruillot, étudiante en 2ᵉ année, dont la création prend la forme d’une fenêtre donnant sur de verts pâturages. « Il fallait que les personnes puissent se reconnaître et se projeter dans nos réalisations, note l’étudiante. Le dialogue en amont avec les réfugiés s’est très bien passé même si nous devions nous montrer très efficaces dans nos explications car ce n’était pas une discussion « professionnelle », dans le sens où nous n’avions pas en face de nous des clients avec des notions de graphisme. Nos posters se devaient d’être faciles d’accès et c’est pour cela que nous voulions représenter les petits bonheurs simples de la vie ! »

    « ON DIT SOUVENT QU’UNE IMAGE VAUT 1 000 MOTS »

    Comme Louis-Alexandre, Violette apprécie la dimension atypique de cette collaboration entre une école et une association à vocation humaniste. « De nos jours, parce que les gens ont de plus en plus besoin d’aide, cela devient essentiel de se poser les bonnes questions pour resituer sur ce qui est vraiment important dans la vie, juge-t-elle. Ce genre de projet nous permet justement de réaliser à quel point c’est important d’aider ceux qui souffrent et, aussi, à quel point le graphisme possède un pouvoir assez exceptionnel dans la société. » Un avis que partage son homologue de 5ᵉ année, séduit par le défi créatif : « On dit souvent qu’une image vaut 1 000 mots, mais là, c’était particulièrement vrai ! L’impact du design se fait particulièrement ressentir dans ce livret et cela nous fait revenir à l’essentiel. Il a fallu un gros travail sur les pictogrammes afin qu’ils soient accessibles à différentes cultures en plus de faire comprendre le message principal. Cela a soulevé de nombreuses questions : comment traduire par l’image pour des populations étrangères ? Quel code couleur adopter ? Par exemple, en France, nous sommes habitués à associer le rouge au « non » et le vert au « oui », mais est-ce le cas dans d’autres pays ? C’est qui fait le sel de toute la problématique de la traduction visuelle et de cette recherche de consensus ! » 

    Le discours tenu par les étudiants ne peut que réjouir leur enseignante. En effet, pour Camille Boileau, le pari semble réussi : « Dans le milieu social, notamment celui en lien avec les personnes réfugiées, il n’y a vraiment pas de budget pour payer un graphiste ou une agence alors qu’il y a vraiment des besoins énormes de communication, ne serait-ce que parce que ces associations s’adressent à des gens venant des quatre coins du monde, qu’ils soient réfugiés politiques ou issus de la traite des êtres humains. Ces personnes ont besoin de comprendre les règles et des procédures juridiques souvent extrêmement complexes, d’où l’utilité des métiers de graphiste et de directeur artistique : ils sont là pour travailler sur plusieurs supports servant de médiation entre les réfugiés et les travailleurs sociaux, à la fois pour comprendre leur psychologie, les aider dans les procédures juridiques et à comprendre les règles de vie du foyer, s’informer sur les financements de l’État, etc. C’est un travail très complet d’un point de vue pédagogique et qui se veut aussi un peu plus éthique et empathique. »

    E-ARTSUP : « UN BEAU SYMBOLE » POUR LES PERSONNES RÉFUGIÉES

    Enfin, du côté de Forum réfugiés, on ne voit également que du positif à cette relation tissée avec les étudiants d’e-artsup au rythme des projets successifs. D’autant plus qu’à en croire Maryse Orban, ces multiples collaborations ont une autre vocation très éloignée du pur graphisme. « Comme il est question de sujets parfois sensibles, avec des personnes ayant des parcours de vie difficiles et qui ne savent pas toujours l’exprimer avec des mots, les échanges menés avec les étudiants ont également eu un impact positif sur le plan thérapeutique, estime la chargée d’accompagnement. Je me rappelle, par exemple, de trois femmes avec qui je me suis rendue au sein d’e-artsup pour aller à la rencontre des étudiants. Le fait de pouvoir transmettre leur opinion, leur avis, a aidé à les revaloriser. En effet, ce sont des femmes qui, de par ce qu’elles ont pu vivre, ont une confiance en elles un peu escamotée. Cela leur a fait du bien qu’on les écoute. D’ailleurs, pour certaines réfugiées qui n’ont pas forcément un haut niveau d’études, intervenir dans une grande école est aussi un beau symbole. Le campus en lui-même est aussi important pour elles : l’école est assez impressionnante quand on y pénètre, avec de nombreux projets étudiants présentés, de beaux locaux, propres et studieux. Cela ne ressemble pas tellement à la plupart des écoles qu’elles ont connues petites. Elles se sentent importantes. »

  • Le Groupe IONIS renforce son état-major

    Publié le 13/07/2023

    Afin de renforcer la dynamique du groupe et ses développements dans de nouveaux domaines et de nouvelles villes, Marc Sellam a décidé de nommer Charline Avenel Directrice Générale du Groupe IONIS. Elle...

    Afin de renforcer la dynamique du groupe et ses développements dans de nouveaux domaines et de nouvelles villes, Marc Sellam a décidé de nommer Charline Avenel Directrice Générale du Groupe IONIS. Elle opèrera sous la direction du Président-Fondateur Marc Sellam et du Vice-Président Exécutif Fabrice Bardèche. Cette volonté de renforcer l’équipe de direction du Groupe IONIS vient à la suite de la nomination en début d’année de Lucile Morel, Directrice Administrative et Financière et qui a pris le titre de Secrétaire Générale du Groupe.

    Charline Avenel, qui était jusqu’en juillet rectrice de l’académie de Versailles, a rejoint le Groupe IONIS pour donner à sa carrière un tour différent où l’engagement entrepreneurial prendra autant de place que le service des écoles, de la pédagogie et de la réussite des jeunes. Dans les différents postes qu’elle a occupés dans une carrière déjà très dense, l’une de ses expériences marquantes a été son rôle à Sciences Po. En tant que secrétaire générale, elle y a piloté entre autres, le projet de Campus de l’Artillerie (renommé Saint Thomas d’Aquin). Enfin en 2018, elle devient rectrice de l’académie de Versailles.

    « Je rejoins un groupe familial qui ne doit sa croissance qu’à la seule énergie de ses fondateurs et dont les écoles sont reconnues pour la qualité de leur formation sur des segments dont notre pays a besoin. J’ai le sentiment qu’ici je pourrai contribuer à de donner aux étudiants envie d’apprendre, d’innover, de se développer. J’aime penser l’avenir et le faire advenir », indique Charline Avenel.

    Pour le Groupe c’est un pas de plus vers une consolidation de la direction générale et son institutionnalisation « Nous avons besoin de personnes solides et déjà riches d’expérience, pour nous aider à imaginer et construire les grandes écoles de demain », lance Marc Sellam. Charline Avenel a fait ses preuves à la tête de l’un des rectorats les plus intéressants de France par sa taille et la diversité de sa population. Cette énarque de formation a su gérer avec talent des situations de crise et montré qu’elle savait bâtir. Elle aime le terrain, le contact, l’innovation : son intégration à la tête du Groupe IONIS lui donnera tout loisir d’exercer ses talents au service du Groupe.

  • Jean-Paul Brunier rejoint IONIS Education Group

    Publié le 28/02/2023

    Il est nommé Directeur en charge de la Communication et des Synergies des Campus ComCreaTech de IONIS Education Group lesquels, rassemblent les écoles suivantes : Epitech, Epitech Digital School, ISEG...

    Il est nommé Directeur en charge de la Communication et des Synergies des Campus ComCreaTech de IONIS Education Group lesquels, rassemblent les écoles suivantes : Epitech, Epitech Digital School, ISEG et e-artsup réparties dans plus de 10 villes en France et en Europe. Il reporte à Marc Sellam, Président et Fondateur de IONIS Education Group.

    Diplômé de Sciences Po Paris et du MBA HEC, après plusieurs années dans l’Armée comme officier (Infanterie de Marine), il a fait une carrière dans la communication en agence au service de plus de 150 marques et entreprises sur un plan européen ou mondial, notamment pour Renault, Chrysler, Jeep, Sanofi, Coca-Cola, P&G…

    Il a travaillé 22 ans au sein de Publicis Groupe. Il a été président de Leo Burnett France et Belgique durant 12 ans et membre du board de Leo Burnett monde. Ses équipes créatives ont remporté des dizaines de récompenses internationales dont plus 25 Lions au Festival International de la Créativité de Cannes.

    Pendant plus de 10 ans, Jean-Paul s’est investi également au sein de l’ARPP en tant qu’administrateur et de l’AACC en tant que membre du bureau et Vice-Président. Il enseigne entre autres à Sciences Po Paris.

    Pour Marc Sellam, Président-Fondateur de IONIS Education Group « La venue au sein de notre groupe marque clairement notre volonté de créer des synergies uniques entre les sphères du marketing, de la communication, de la création et de la tech. C’est la réalité de l’ère digitale. C’est la réalité des actions menées par les entreprises et les marques. Nous avons la chance d’avoir trois écoles reconnues pour la qualité des formations. En facilitant les synergies nous répondons, au profit de nos étudiants et de leurs futurs professionnels, aux transformations structurelles des domaines cités »

    Pour Jean-Paul Brunier « Je suis ravi de rejoindre IONIS Education Group afin mettre en musique  les synergies  déjà actives entre nos  écoles expertes, préparant nos étudiants créatifs, tech, marketing et com à travailler ensemble, ce qui est essentiel pour leurs futurs employeurs, l’autre défi pour un groupe aussi « student centric »  que IONIS Education Group consiste à mieux révéler l’excellence et l’originalité de chacune des 4 marques : e-artsup, Epitech, Epitech Digital School et ISEG ».

  • Lucile Morel est nommée secrétaire générale de IONIS Education Group

    Publié le 08/02/2023

    Lucile Morel, actuelle Directrice financière de IONIS Education Group a rejoint le groupe en 2017. Au cours de ces cinq dernières années elle a structuré la fonction finance du Groupe tant sur le plan...

    Lucile Morel, actuelle Directrice financière de IONIS Education Group a rejoint le groupe en 2017. Au cours de ces cinq dernières années elle a structuré la fonction finance du Groupe tant sur le plan des équipes que des processus et des outils.

    Ces missions se sont étendues sur toutes les écoles et les entités du groupe, dans toutes les villes de France et sur les campus internationaux.

    Tout en continuant à encadrer les équipes financières, Lucile travaillera en plus grande proximité avec les directeurs d’école pour adresser, avec eux, les enjeux financiers. Lucile assurera, par ailleurs, la coordination entre les différentes fonctions support du Groupe.

    Enfin, son expérience lui permettra de participer à la définition de la stratégie du Groupe et à sa mise en œuvre.

    Pour Marc Sellam, Président-Fondateur du Groupe IONIS :

    « Cette nomination est la suite logique de l’énorme travail qu’a su accomplir Lucile Morel et ses équipes dans la modernisation de notre organisation et dans l’optimisation des multiples fonctions que cette responsabilité implique. Je lui souhaite une belle réussite dans ses nouvelles missions ».

    Pour Lucile Morel :

    « Je remercie le Groupe et son Président pour cette marque de confiance. Je me réjouis de cette nomination. J’ai la chance d’être entourée d’équipes impliquées pour m’accompagner dans ces missions et je relèverai avec plaisir et énergie les défis que je sais nombreux avec le développement permanent de nos écoles dans cet univers en mouvement et passionnant. »

    – – – – –

    Lucile Morel a évolué pendant 20 ans au sein de directions financières dans les secteurs de la grande consommation, du luxe et des services.

    Elle débute sa carrière chez Pernod Ricard au Mexique en 2003.

    En 2005, elle rejoint le groupe L’Oréal à l’audit interne puis au Travel Retail.

    Elle devient, en 2010, directrice du contrôle de gestion du groupe de protection sociale Pro Btp puis, en 2014, directrice financière d’une filiale du groupe italien Bolton (grande consommation).

    En 2017, elle rejoint IONIS comme directrice financière.

    Lucile est diplômée d’HEC en 2003.

  • Imaginer la ville de demain

    Publié le 02/02/2023

    L’éco-responsabilité, l’ouverture sur le monde, la culture, la santé, la sécurité : découvrez les grands gagnants de l’édition 2023 de la Project Week avec JCDecaux. « Améliorer la vie en ville durablement...

    L’éco-responsabilité, l’ouverture sur le monde, la culture, la santé, la sécurité : découvrez les grands gagnants de l’édition 2023 de la Project Week avec JCDecaux.

    « Améliorer la vie en ville durablement »

    C’est autour de cette problématique que les huit équipes finalistes ont présenté leur projet, mardi 31 janvier, face au jury de la Project Week 2023 composé de la direction générale de JCDecaux. Après deux heures de pitch, les trois meilleurs projets ont été sélectionnés : Bordeaux  (vainqueur), Strasbourg et Toulouse.

    L’édition 2023 de la Project Week a été marquée par la réalisation de projets innovants et créatifs répondant à des enjeux sociétaux touchant les jeunes de 18/25 ans, à savoir l’écologie, l’ouverture sur le monde, la culture, la santé, la sécurité ou encore les nouvelles technologies.

     

    « Nous sommes ravis d’avoir accompagné la Project Week 2023 du Groupe IONIS. Les étudiants ont fait preuve d’une grande créativité et inventivité en un temps record ! Le jury les remercie sincèrement pour leurs propositions inspirantes et qui portent un regard pertinent sur la ville de demain…qui se construit dès aujourd’hui. » Albert ASSERAF – Directeur Général Communication et Nouveaux Usages – JCDecaux

    Après Meetic, Mugler, Nike, Sony Music et d’autres entreprises réputées, c’est l’acteur mondial de la publicité et du mobilier urbain,  JCDecaux qui interrogeait nos étudiants sur l’apport de solution à une problématique marketing, communication, création et technologique.

    Initiative nationale et interdisciplinaire unique en France, 1 000 étudiants du Groupe IONIS répartis sur 8 campus (Paris, Bordeaux, Lille, Lyon, Montpellier, Nantes, Strasbourg et Toulouse), issus de 4 écoles différentes (ISEG, e-artsup, Epitech Technology et Epitech Digital School) ont réfléchi ensemble durant une semaine, par équipes mixtes de 10 étudiants, à des solutions créatives et innovantes reprenant les codes du design thinking, basés sur la faisabilité (technique), la viabilité (marketing) et la désirabilité (design).

    « Grâce à nos amis de JCDecaux, la magie de la Project Week a encore opéré : mélanger des étudiants en tech, en création et en communication et marketing et en expertise autour d’ un brief précis qui vise à changer positivement la vie des gens… La Project Week est l’illustration de la pédagogie de demain appliquée dans nos 4 écoles, demain s’apprend ensemble. Ce qui frappe c’est comment la technologie est perçue par nos jeunes : elle est désormais au service de l’usage. » Jean-Paul BRUNIER – Directeur Communication et synergies des campus ComCreaTech du Groupe IONIS.

    L’ÉQUIPE GAGNANTE DU PROJET « MUMPI », Bordeaux

    • Tessa Bertrand, e-artsup
    • Tom Burelout, ISEG
    • Alexandre Chavalobre ISEG
    • Sarah Demory, ISEG
    • Mailys Plantade, ISEG
    • Lea Plumaugat, ISEG
    • Mattis Simon, Epitech Digital School
    • Louis Bassagal, Epitech Technology
    • Luka Camus, Epitech Technology
    • Samuel Florentin, Epitech Technology
    • Nils Martin, Epitech Technology

    COMPOSITION DU JURY JCDECAUX

    • Albert ASSERAF, Directeur général Communication et Nouveaux Usages
    • Isabelle MARI,Director Strategic Projects and User Innovation
  • IONIS en veille contre le sida : 16 ans de mobilisation

    Publié le 15/12/2022

    Comme chaque année, toutes les écoles du Groupe IONIS se sont mobilisées pour sensibiliser leurs étudiants et le grand public à la lutte contre le sida. Organisée sur l’ensemble des campus, la 16e édition...

    Comme chaque année, toutes les écoles du Groupe IONIS se sont mobilisées pour sensibiliser leurs étudiants et le grand public à la lutte contre le sida. Organisée sur l’ensemble des campus, la 16e édition de IONIS en veille contre le sida s’est déroulée du lundi 28 novembre au vendredi 02 décembre 2022, en écho à la Journée mondiale de lutte contre le sida qui intervient chaque 1er décembre.

    Durant cette semaine, actions d’information, sessions de dépistage, collecte de fonds, conférences avec des professionnels de santé, événements et ateliers ont été organisés.

    Ces initiatives menées par nos étudiants ont ainsi permis de récolter plus de 15 000 € pour Sidaction et AIDES.

    Retours sur quelques actions et temps-forts des écoles du Groupe IONIS

    Le Sidaction XP sur Twitch

    Nos étudiants de XP, l’école dédiée aux métiers du jeu vidéo et de l’esport, se sont mobilisés sur les chaînes Twitch de leurs associations et BDE respectifs lors d’un live vidéo games exceptionnel, qui a duré plus de 72h non-stop. Couplé d’un workshop pédagogique basé sur le streaming et la captation, nos étudiants ont eu 4 jours pour récolter un maximum de dons pour les associations.

    Tournoi de basket inter-écoles

    Les écoles EPITA, ISG et ISEG se sont réunies pour disputer un tournoi au basket center de Strasbourg. La participation des étudiants était payante, réunissant des fonds pour le Sidaction.

    Conférences

    Plusieurs professionnels de la santé sont intervenus sur nos différents campus afin de sensibiliser nos étudiants, à l’instar d’Alicia Michel-Salzat (Maître de conférences à l’université Paris Diderot) et Felix Benoit (infirmier) qui ont animé une conférence de prévention auprès de nos étudiants de Sup’Biotech sur le VIH-SIDA.

    L’ISEG a de son côté organisé une conférence avec Nicolas Aragona, alias Supersero. Créateur de contenu autour de son parcours de séropositif, l’invité a par la suite développé son association éponyme en 2019. Son but : déstigmatiser la séropositivité et construire une nouvelle approche du VIH, pour refuser aussi bien la différence que l’indifférence. Lors de cette conférence teintée d’humour et de sincérité, il a notamment décrit les difficultés sociales rencontrées à la suite de son diagnostic. La nécessité de briser les tabous était au cœur du sujet.

    Pour compléter le point de vue social de Supersero, il était également important de sensibiliser nos étudiants à l’aspect médical de la maladie. Comment est-elle apparue ? Comment se transmet-elle ? Quels sont les moyens de la dépister ? Epitech a donc organisé pour tous les étudiants du campus de Strasbourg une conférence avec Emmanuel Boutant, maître de conférences en virologie. Une conférence concrète, très interactive et ouverte au dialogue.

    Actions tout au long de la campagne

    Décoration des campus, vente de goodies et de pâtisseries, vide dressing caritatif, diffusion de films, campagne sur les réseaux sociaux, stand d’informations et distributions de préservatifs, soirées, jeux concours et divers évènements ont été également organisés pour récolter un maximum de fonds au profit des associations.

    Le VIH et le Sida sont malheureusement toujours d’actualité et nécessitent de poursuivre le combat. Cette maladie, qui touche encore près de 40 millions de personnes à travers le monde, concernerait près de 173 000 Français. L’activité de dépistage du VIH intervient souvent trop tardivement et c’est pourquoi la mobilisation face à ce fléau ne doit pas fléchir, notamment auprès des plus jeunes. L’engagement continue pour informer, sensibiliser, accompagner les personnes séropositives et permettre à la recherche d’avancer, objectif que le Groupe IONIS s’engage à atteindre année après année.